Christine Lagarde a invité (convoqué…) les autorités financières de la zone CFA à Paris fin février pour évoquer la crise, et a multiplié les avertissements dans la presse depuis. Le message est simple : pas de protectionnisme contre les produits européens ; pas d’augmentation de salaire pour les salariés et pas touche aux réserves de change placés à la banque de France, trésor de guerre français lié au Franc-CFA. A quand la mutinerie ?